La conférence s’est poursuivie au même rythme qu’elle a débuté. Un programme très chargé, de nombreuses sessions concurrentes et des thèmes parfois aux antipodes les uns des autres.
Parmi les thèmes ayant ressortis le plus, notons la nécessité de mettre en place un cadre légal international pour la préservation des documents électroniques, la nécessité d’établir des modèles de coûts, les dépôts numériques certifiés, les expériences de numérisation à petite ou grande échelle, les données ouvertes des gouvernements et les services de type infonuagique. Pour tous ceux intéressés aux contenus des conférences, les présentations seront disponibles sur le site de la conférence d’ici quelques semaines. Nous vous tiendrons informés de leur mise en ligne.
Le but de la conférence étant d’arriver à un consensus et de rédiger des recommandations à promouvoir devant les divers paliers d’intervenants que l’UNESCO conseille, la conférence de clôture a donc servi à présenter la recommandation suivante, rédigée par le comité organisateur de la conférence, et à la retravailler en groupe selon les commentaires des divers participants. Ceux-ci ont d’ailleurs été nombreux à commenter, discuter, suggérer certains points, dont entre autres l’importance primordiale à mettre un accent sur les documents nés numériques, établir une collaboration avec l’industrie et la démocratisation de l’accès aux documents. La déclaration est affichée sur le site de la conférence [PDF – en anglais seulement] pour consultation et vous êtes invités à la commenter d’ici au 19 octobre.
